exploration radiologique du sein

Cette technique emploie les rayons X à faible dose sur une dose limitée au strict minimum.

Une compression de la glande est nécessaire pour augmenter la qualité de l’image et réduire l’irradiation ; elle est moins sensible en première partie du cycle.

Des précautions doivent être systématiques chez une femme enceinte qui doit signaler son état.

Cette exploration indolore non irradiante fondée sur les ultrasons complète la radiographie des seins.

Elle individualise facilement des lésions de nature liquidienne.

Elle est parfois prescrite seule chez la jeune fille ou chez la femme quand une anomalie apparait pendant la grossesse ou l’allaitement.

Ce geste simple, rapide, indolore, non dangereux, parfois guidé par l’échographie permet un petit prélèvement à l’aiguille fine adressé au laboratoire pour analyse et permet l’évacuation d’une petite quantité de liquide.

La mammographie et l’échographie ont mis en évidence une formation sans diagnostic de certitude : la biopsie permet de connaître sa nature.

C’est un geste simple, immédiat, peu douloureux, qui se pratique sous guidage échographique ou radiologique et dont les résultats sont communiqués en moins d’une dizaine de jours.

L’IRM mammaire complète, sur des indications précises, le bilan sénologique tel qu’il a été évoqué à travers la mammographie et l’échographie et peut contribuer à la caractérisation des formations mises en évidence.

Une galactographie permet, par l’opacification progressive d’un canal arrivant dans la mamelon avec un produit de contraste iodé visible aux rayons X, de visualiser l’intérieur de ce canal.

Toute allergie, toute réaction au produit iodé doit être signalée au médecin avant le début de cet examen, même si une telle opacification ne déclenche qu’exceptionnellement des réactions allergiques, qui sont, le plus souvent sans conséquence.